Au moment où l’École des Beaux-Arts de Valence était menacée d’occupation et de réduction de son site, alors que l’ensemble des enseignants et des étudiants s’opposaient à la décision de la municipalité, j’ai écrit en chinois : « Protégeons Valence avec notre vie et notre sang ».
La typographie et le format reprenaient ceux des slogans politiques couramment utilisés en Chine.

